logoecfi
 cfi.ifla.free.fr
Comité français IFLA 
    tetemenu
      
Accueil >> CFI

Rapport moral 2008

Dans ce document :
  1. La vie de l'association
  2. Les boursiers du CFI
  3. Le Congrès de l'IFLA à Québec
  4. Le suivi des boursiers
  5. Les traductions
  6. Le caucus francophone
  7. L'opération Pavillon France
  8. Le Rassemblement des francophones
  9. Le parrainage d'associations
  10. Élargissement des missions du CFI
Voir aussi

1. La vie de l'association

Les réunions des instances délibératives

Le conseil d’administration de l’association s’est réuni 8 fois en 2008 :

Le CFI s'est réuni en assemblée générale le jeudi 20 mars 2008.

Les relations publiques

Le CFI a été représenté : par l’un des membres du CA, au congrès annuel de l’ADBU, en septembre ; par sa secrétaire, Martine JAN, aux journées d’étude de l’ADBDP à Perigueux, fin septembre.
Pascal SANZ, président, est intervenu sur le thème « IFLA, AIFBD, CFI », le 4 février, à l’Université d’Angers, dans le cadre du nouveau Master 2 de celle-ci, « Gestion et animation des réseaux documentaires ».

2. Les boursiers du CFI en 2008

La commission d’attribution des bourses (CAB) s’est réunie le lundi 28 février. Outre les membres du bureau, cette commission était constituée des représentants de l’ABF (Danielle Chantereau et Annick Guinery) et de la FADBEN (Françoise ALBERTINI), ainsi que d’experts désignés par le CA pour examiner les dossiers de candidatures francophones.

Les propositions de la CAB ont été validées par le CA du 29 février.

Boursiers français

34 dossiers de candidatures ont été reçus. Ils ont été pré-examinés par Martine Jan, secrétaire du CFI. Sur proposition de la CAB, le CA du CFI a sélectionné les candidatures de 11 collègues français pour participer au congrès de l’IFLA à Québec :

NOM Prénom Fonction Établissement
ALBERTINI FrançoiseProfesseur documentaliste, LGT Victor Hugo, CARPENTRAS
ANDISSAC Marie-NoëlleConservateur responsable du réseau de lecture publique adulte Ville de Toulouse ainsi que des départements L’œil et la Lettre et Intermezzo de la Médiathèque José Cabanis, TOULOUSE
COLNOT Agnès Conservateur stagiaire, Adjoint au responsable de la BU Sciences et Philosophie RENNES
COLOMB Philippe Bibliothécaire au CERDOC, Bibliothèque Cujas, 2 rue Cujas PARIS (5ème)
DELRUE-VANDENBULCKE Laure Conservatrice réseau documentaire éducation et formation, bibliothèque associée du SCD de l’Université d’Artois, IUFM Nord-Pas-de-Calais, Ecole interne de l’Université d’Artois, VILLENEUVE D’ASCQ
GUERIN Claudie Coordinatrice des médiathèques et centres de documentation Assistance Publique-Hôpitaux de Paris, Centre inter-médiathèques, PARIS (5ème)
GUINERY Annick Directrice du réseau des bibliothèques de Choisy-le-Roi, CHOISY LE ROI
JOUIN Soizik Directrice de la médiathèque Chaptal PARIS (9ème)
LAMBOTTE Anne-Céline Coordination de l’indexation Dewey Agence bibliographique nationale, Bibliothèque nationale de France PARIS (13ème)
MAUREL Lionel Conservateur. Coordinateur scientifique Gallica/service Pôles associés-Gallica Département de la coopération Bibliothèque nationale de France PARIS (13ème)
SWIATEK Cécile Chef de section Saint-Antoine (médecine) Service Commun de la Documentation Médicale, UPMC (Paris 12ème)

Représentation des différents types de bibliothèques parmi les boursiers :

Ces boursiers ont reçu une allocation de 1 250 € par boursier.

Boursiers francophones

Le CFI a reçu 81 candidatures étrangères francophones. 10 d’entre elles étaient irrecevables (dossiers incomplets, ne correspondant pas aux critères, hors délai). Parmi les 71 candidatures recevables et après un important travail d’instruction par les 2 experts Marie-Claire Germanaud et Franck Hurinville, puis une sélection par la CAB, le CA a retenu 11 candidatures :

Pays Nom Prénom
Algérie Chekouche Yamina
Côte d'Ivoire Ouattara ép. Coulibaly Cécile
Égypte El Sahn Marwa
Gabon Koumba Jean François
Haïti Dolce Martine
Liban Hachem-Stephan Maud
Liban Chebli Clarisse
Mali Sidibé Amadou Beckaye
Maroc Ameur Abderrahim
Maroc Lrhoul Hanae
Sénégal Samb Amadou

Les origines géographiques des boursiers étrangers ont donc été, en 2008, les suivantes :

Le montant moyen de la dépense (inscription, voyage, hôtel, per diem) s’est élevé à 2525 € par boursier étranger francophone.

Les activités du CFI relatives au congrès de l’IFLA, Québec 2008

L’accompagnement des boursiers

Comme les années précédentes, celui-ci a commencé, à distance dès le lendemain de la sélection des boursiers : correspondance avec chacun ; pour les Français, envoi de la première partie de la bourse ; pour les étrangers, inscription au congrès, recherche des itinéraires, achat des billets d’avion, réservation hôtelière, informations pratiques diverses. L’ensemble a été réalisé par Marc Chauveinc, Martine Jan, Marie-Claire Germanaud et Franck Hurinville.

Au début du congrès, une réunion de l’ensemble des boursiers du CFI a été organisée. Les boursiers étrangers ont bénéficié de l’accompagnement quotidien de deux accompagnateurs, qui logeaient au même hôtel qu’eux et ont tenu avec chacun un ou plusieurs entretiens individuels visant à le conseiller pour tirer le meilleur profit professionnel du congrès.

A la fin du congrès un dîner a été offert par le CFI à l’ensemble des boursiers français et étrangers.

Les activités de traduction

(Rapport rédigé par Cécile Swiatek)

Le Comité de traduction du CFI s’est réduit en 2008 à un unique membre bénévole – Cécile Swiatek – qui a assuré les missions du Comité : effectuer des traductions vers le Français et assurer les relectures de communications traduites par des traducteurs bénévoles sur la base de la répartition des textes entre Français et francophones en partenariat avec les Québécois sur la base du tableau de suivi des traductions des congrès de l'IFLA du site http://bibliodoc.francophonie.org.

En 2008, 64 traducteurs français ont participé à l’effort de traduction des communications scientifiques de l’IFLA. Chaque traducteur a effectué entre une et quatre traductions, la majorité étant à une traduction, parfois deux.

Frédéric Blin de la SDBIS a assuré le suivi des traductions de l’Ifla Express par le groupe de volontaires et d’étudiants qui a réalisé des traductions rapides avant et pendant le congrès, au fur et à mesure des parutions du journal. Suite aux décisions du Conseil d’administration de l’IFLA (décembre 2007), les conditions matérielles de production des différentes éditions linguistiques de l’Ifla Express ont été nettement améliorées par rapport à celle du congrès de Durban 2007.

Le partenariat avec les Québécois est le suivant : le CFI suit la répartition des textes parmi les traducteurs bénévoles Français et assure la relecture des textes traduits dans la mesure du possible ; le responsable québécois de la mise à jour du tableau de suivi des traductions, Julie Dupaul en 2008, met en ligne les liens vers les textes que les membres du Comité traduction du CFI remontent à Sophie Felfoldi pour la mise en ligne sur le site de l’IFLA. Il fonctionne bien, un seul cas de chevauchement de traduction a eu lieu en 2008.

Toutefois il peut être revu en fonction des options prises au CFI concernant l’activité de relecture (cf. « questions en suspens » en fin de bilan).

Bilan chiffré :

NB : les 7 textes de la section Art traduits par la BnF ne figurent pas dans ce total ; les 3 textes traduits en 2008 pour les congrès précédents ne sont pas non plus décomptés)

Points forts :
Points faibles :
Perspectives :

En 2009 Cécile Swiatek se retire de cette fonction suite à son élection au CA et au bureau du CFI (Secrétaire du CFI).

Questions en suspens :

Réflexion avec Alain Collignon, vice-président du CFI, sur la méthode de l’activité de relecture des traductions ; plusieurs scénarios seront proposés au bureau et CA du CFI.

Rencontre avec Rejean Savard en avril 2009 pour le mode de fonctionnement à venir entre Québec et France, et par conséquent sur la rédaction du Vademecum 2009 des traductions.

La participation au Caucus francophone

Le Caucus, après avoir résumé le 1er congrès de l’AIFBD, qui s’était tenu du 3 au 6 août à Montréal, a fourni aux participants les informations essentielles sur les grands axes de travail actuels de l’IFLA (développement du multilinguisme, « convergence » entre archives, bibliothèques et musées, développement durable,…).

L’opération « Pavillon France »

Le CFI et ses membres souhaitaient que la participation française à ce congrès se signale par une action particulière. Il fut décidé de traduire cette présence par un « Pavillon France » regroupant, dans le cadre de l’exposition professionnelle du congrès, la majorité des institutions et associations françaises exposantes.

Le CFI a organisé la concertation entre ces organismes sur le contenu scientifique et professionnel du Pavillon, la réservation et la répartition de la surface entre les participants, son agencement, les questions techniques diverses, la réalisation d’un dossier de présentation à l’intention des congressistes, la réalisation d’un diaporama sur les réussites des bibliothèques françaises, la coordination du montage, de l’animation et du démontage du stand commun, les paiements aux différents prestataires, l’encaissement des contributions des organismes participants.

Mireille Chazal et Christine Deschamps ont assuré l’ensemble de cette coordination, au cours de 5 réunions préparatoires entre le début de l’année et juillet 2008, sur place pendant le congrès et, enfin, lors d’une réunion de bilan, le 8 décembre. On lira en annexes, un document de « débriefing » et un bilan de cette opération, jugée très réussie par ses participants et les nombreux visiteurs du « Pavillon ».

L’Association internationale francophone des bibliothécaires et documentalistes (AIFBD)

Pascal Sanz a achevé la démarche conduisant au dépôt des statuts et à la déclaration de l’association à la Préfecture de police de Paris, le 21 janvier 2008 (JORF- Lois et décrets / Associations, n°8, du 23 février 2008, p. 827). Il a activement participé, en tant que vice-président, aux travaux par courriel du Conseil provisoire de l’AIFBD et a organisé la réunion de ce conseil, le 5 décembre, à la BnF.

Anne-Marie Bertrand, Christine Deschamps et Pascal Sanz ont participé au Comité scientifique ayant sélectionné les communications présentées au 1er congrès de l’AIFBD. Le CFI était représenté à celui-ci (Montréal, 3 – 6 août 2008) par plusieurs des membres de son conseil d’administration. Marie-Claire Germanaud a présenté une communication remarquée sur le bilan des activités du CFI en matière de contribution à la participation francophone à l’IFLA. Pascal Sanz a présidé la séance de clôture de ce congrès.

Le parrainage d’associations professionnelles de pays francophones

Comme les années précédentes, le CFI a parrainé, en payant leurs cotisations à l’IFLA, les 9 associations professionnelles ou institutions de pays francophones suivantes :

L’évaluation de ce dispositif devrait être menée en 2009.

La réflexion en vue de l’élargissement des missions du CFI

Le CFI a entamé, à l’automne 2008, cette réflexion, essentielle pour son propre devenir comme pour le développement et la valorisation des activités internationales de ses membres. On trouvera en annexe le compte rendu de la réunion du 24 octobre 2008 à ce sujet.

Annexes

Pavillon France, Québec, IFLA 2008

Débriefing rapide : 14 participants pour 1 grand stand de 54 m² : BnF, CAIRN, ABES, MESR, BPI, DLL, CSI, INIST, ENSSIB, ABF, ADBS, ADBU, ADBDP et CFI.

Location du stand : l’emplacement paraissait idéal, mais on ne pouvait pas voir sur le plan que nous n’étions pas situés du bon côté de l’arrivée. Néanmoins, nous étions très faciles à trouver.

Réunions préparatoires : Difficile de s’entendre à l’avance sur les desiderata, et de réaliser l’espace dont on disposera réellement. On veut toujours commander trop de matériel. Heureusement, on a pu rendre du matériel gratuit (tables, chaises) et obtenir des tables plus petites (carrées au lieu de rectangulaires), etc.

Budget : En plus des financements des deux ministères, il a déjà été refacturé aux participants les frais de location du stand nu. Le CFI prend à sa charge le Diaporama réalisé par « Marges et Paperoles » (B. Pedot), l’impression des pochettes (les signets sont offerts gratuitement), et quelques frais communs.
Il restera à refacturer aux participants les frais de location de mobilier et de matériel, et les frais divers facturés par le Centre des Congrès (QCCC) : nettoyage, tapis, fleurs, café, etc…

Préparation matérielle du stand :

Problèmes d’inscription. Au dernier moment, il a fallu inscrire comme exposants quelques personnes qui ne s’étaient pas signalées comme telles, mais on a facilement obtenu les badges nécessaires.

Arrivée de Mireille Chazal et Christine Deschamps dès le Jeudi 7 Août, mais impossibilité d’accéder au stand le vendredi.

Montage du stand le samedi : Le principal problème étant celui des fils Internet et Electricité, il est réglé relativement rapidement en passant sous le tapis. L’installation fonctionnait parfaitement bien. Pour le mobilier, tout est livré en vrac : un coup on apportait 8 tabourets, un coup 1 table, etc. Comme on réalise l’exiguïté du stand, on est obligé de réajuster le mobilier.

Installation du diaporama sans problème. La livraison des documents et des matériels de France se fait en plusieurs fois, mais tout y est.

Certains participants participent au pliage des pochettes et à l’insertion des 14 fiches à l’intérieur. C’est un gros travail, mais qu’on n’avait pas eu le temps de faire avant de partir.

L’Inist apporte une très belle affiche récapitulant la liste des participants sur le stand, qu’on accroche sur l’arrière du stand. Cette affiche reprend le logo du Pavillon France, ainsi que ceux des participants. Ainsi, on a une belle cohérence de présentation.

Chaque participant présente son stand (stand « parapluie ») pour la BnF, « Totems » pour la BPI et la CSI.

On utilise une pochette pour décorer un carton qui sert d’urne pour la loterie.

Enfin, chaque jour, le traiteur du Centre apportera du café, du thé, des boissons fraîches dans un petit réfrigérateur dans la réserve, des noix à grignoter et des chips. Cela fera beaucoup pour l’attrait du stand, qui jouera d’autant mieux son rôle de point de ralliement…

Inauguration : Inauguration de l’exposition commerciale le dimanche après-midi. Beaucoup de monde sur le stand et tout autour ! Les commentaires sont positifs, le stand est très visité et apprécié, à part le taux d’encombrement… Nous répondons que le stand est petit par la taille mais grand par le prix…

Permanences : Chaque groupe de participants organise sa représentation sur le stand. Pour le CFI, Mireille et Christine étaient là le dimanche, puis seulement Mireille le lundi, et seulement Christine le mardi. Toutes les deux bien sûr le mercredi matin, et pour le rangement du stand le mercredi après-midi.

Préparation du retour : Tirage de la loterie le mercredi matin, et distribution des lots autant que possible. Les lauréats qu’on n’a pas retrouvés recevront leur lot par la poste.

Transport de retour : Mireille a téléphoné à Dolbec dès le lundi pour préparer l’envoi de retour en France. On a eu une visite de « Nathalie » de Dolbec le mardi, et on a préparé les papiers de douane le mercredi après-midi, avec beaucoup de difficultés : encore une estimation du poids, des dimensions (en pouces), de la valeur, etc.

Pour les colis et l’adressage, le travail fut particulièrement rude. Il fallait trouver des cartons, les adresser et les scotcher, trouver des palettes, porter les colis dessus, et tout fermer avec le plastique donné par Dolbec à cet effet. Mireille et moi n’aurions jamais pu faire cela sans l’aide des participants, et particulièrement des gens de la BnF, de Cairn, de l’Inist, et du Mesr…

Conclusion : Un beau stand, trop encombré, mais un espace convivial très fréquenté. Peut-être grâce au café en libre-service ? Tout le monde semble apprécier de retrouver regroupés au même endroit tous les principaux partenaires de la bibliothéconomie française. Nous avons reçu de vifs encouragements à recommencer l’année prochaine…

Mireille Chazal et Christine Deschamps

Bilan du Pavillon France à Québec, 8 décembre 2008

Excuses de : Paolo Laï (INIST), Josiane Faïta-Hugues (ABES) et Isabelle Delano (INIST), qui n’ont pas reçu de convocation. Excuses de Julie Fauvet qui n’a pas pu venir.

Débriefing : On reprend le document « Débriefing rapide » de C. Deschamps point par point, en essayant d’en tirer des conclusions pour une éventuelle répétition du Stand.

De l’avis général, le problème majeur a été le manque de place et d’espace étant donné le grand nombre de participants.

Pascal Sanz informe le groupe que, en fait, l’espace jouxtant notre stand aurait dû être libre, et on aurait dû pouvoir demander un stand plus grand, si la BNQ n’avait immédiatement décidé de venir s’accoler à nous, en prenant tout l’espace restant, excluant par là tout espoir d’expansion.

Réunions préparatoires : On demande toujours trop de mobilier et on apporte trop de documents. Il faut faire aussi attention aux types de documents que l’on apporte. L’hétérogénéité provient aussi des logiques d’établissements trop diverses. Mais le document commun a été très apprécié.

Budget : Rayer la mention « pochettes prises en charge par le CFI ». Les coûts semblent corrects par rapport aux prestations attendues (et obtenues). On discute de l’utilisation possible des documents communs qui restent en grand nombre (quitte à les réactualiser).

Propositions : En distribuer au Congrès de l’ABF, et aussi en donner à la CSI pour distribution. Pascal ira voir le stock avec Damien.

Transport : Un grand merci général à Damien pour l’aide apportée. Ce travail s’est avéré plus lourd que prévu. La conclusion à en tirer est que, plus on est prêt tôt, moins cela coûte cher, et mieux cela se passe…

Loterie : On n’a pas encore envoyé aux destinataires les ouvrages restants. Comment s’organiser de manière plus efficace une autre fois ?

Installations : Diaporama excellent, peut-être pas placé idéalement. On a eu de la chance de pouvoir utiliser le cagibi supplémentaire. On aurait aimé pouvoir faire un vrai cocktail, et aussi pouvoir faire asseoir plus de gens de manière plus confortable.

Une prochaine fois, prévoir d’apporter un minimum de petit matériel (ciseaux, colle, etc) commun.

Permanences : mieux organiser et faire que les gens restent sur place tout le temps de leur permanence.

Transport de retour : Problème de préparation des cartons et palettes de retour. On aurait pu obtenir plus d’aide de la part de Dolbec. Problème du retard des retours, et de leur état (très sale, état lamentable). La prochaine fois on devra établir assez tôt le poids, le volume et la valeur des colis à expédier, et négocier par avance les conditions de retour. Tout cela suffisamment tôt pour pouvoir faire une vraie mise en concurrence.

Conclusion : Merci au CFI, aux divers partenaires, et aux personnes ayant travaillé à et sur ce stand !

Bilan des partenaires : (Partenaires présents aujourd’hui 8 décembre.)

Budget : Erreur d’intitulé sur les feuilles budgétaires distribuées par Marc : Ce qui est indiqué : « enseigne-banderole » est en fait le coût du Diaporama, l’enseigne-banderole étant comprise dans les factures GES. Prière à tous les participants de mettre les factures en paiement si ce n’est pas déjà fait.

Les participants présents remercient tous encore une fois Mireille Chazal et Michel et Christine Deschamps.

Congrès de Milan

A Milan, en général, les hôtels sont très chers et pas de très bonne qualité, nous dit Homa. On pourrait essayer de trouver un établissement à recommander pour tous les français ?

Faire une action commune à Milan ?

Pas de « Pavillon France » piloté par le CFI, mais peut-être un espace commun ou un groupement de stands (gérés par chacun mais disposés tous les uns à côté des autres). Il faudrait faire vite. Cela risque de poser un problème pour les associations. En tout cas le diaporama sera mis à disposition de qui voudra. Fin de la réunion.

Rappel des points à prévoir pour une autre fois :

LES ORIENTATIONS STRATEGIQUES DU COMITE FRANÇAIS IFLA

Réunion de réflexion du 24 octobre 2008

PRESENTS : Mireille CHAZAL, CFI ; Marc MARTINEZ, ADBU ; Catherine BARNIER, ENSSIB ; Annick GUINERY, ABF ; Martine ERNOULT, FADBEN ; Claire NIEMKOFF, BDIC ; Mireille LAMOUROUX, ADBS ; Franck HURINVILLE, CFI ; Pascal SANZ, Président du CFI ; Frédéric BLIN, SDBIS ; René PHALIPPOU, DLL ; Cécile SWIATEK, Bibliothèques de l’UPMC ; Hubert GRUTTEMEIER, INIST ; Souad HUBERT, BPI ; Alain COLLIGNON, INIST ; Christine GIRARD, Univ. de Bordeaux ; Marie-Claire GERMANAUD, BnF ; Martine JAN, ADBDP

EXCUSÉS : Christine DESCHAMPS, Elisabeth LEMAU, Cécile ARNAUD, Laurence EME, Raymond BERARD.

ORDRE DU JOUR : Le conseil d’administration avait invité les représentants des associations et institutions membres du CFI ainsi que d’autres personnes actives de par leur travail pour l’IFLA ou le CFI.

1. RAPPEL SUR LES ACTIONS DU CFI

Le Président du CFI, Pascal SANZ, rappelle les actions du CFI :

2. PÉRIMÈTRE DE LA RÉFLEXION

Ces actions menées au fil des ans, nourrissent, croyons-nous, un bilan positif. Pour autant, le CFI, comme d’autres associations professionnelles, ne doit pas se dispenser, aujourd’hui, d’une réflexion sur ses orientations stratégiques et ses missions pour les années à venir :

3. DISCUSSION SUR UN BILAN DES ACTIVITES DU CFI

Annick GUINERY, ABF propose que l’on dresse un état des lieux des actions du CFI par rapport aux objectifs définis dans l’article 2 de ses statuts.
Frédéric BLIN, SDBIS, remarque le faible nombre d’inscrits (80) au CFI par rapport au montant de la subvention du Ministère. Il souhaite que des réponses soient apportées à la question : quels services pourraient être développés pour retenir les adhérents ? Les participants approuvent ces deux propositions.

Bourses du CFI : les bourses sont-elles attribuées à des élus de sections de l’IFLA ? Le règlement d’attribution des bourses a été révisé pour permettre à des élus de sections de bénéficier de bourses mais aussi pour que de jeunes professionnels s’engagent dans les activités internationales. A.GUINERY insiste sur l’importance des bourses pour faciliter les participations au congrès. Le poids du dispositif des bourses est très lourd mais très important, notamment dans la mesure où il y a là un réseau relationnel à entretenir.

Marie-Claire GERMANAUD pense qu’en abandonnant les bourses, le CFI disparaîtrait rapidement. Les traductions sont très importantes et ont favorisé le multilinguisme avec la création de l’IFLA Express en français. Ce qui n’est pas fait relève d’un travail scientifique pour contribuer aux activités de l’IFLA. C’est l’IFLA qu’il faut rendre visible en présentant ses activités dans les journées d’étude et congrès des associations. Avant de se vouloir opérateur, il faut mieux assurer ce qui est déjà inscrit dans les statuts du CFI. M.C. GERMANAUD exprime son accord avec les interrogations des Ministères sur les moyens financiers.

Souad HUBERT défend le rôle d’opérateur que devrait avoir le CFI qui pourrait repérer les opérations internationales et assurer une présence française. Elle remarque le manque de participation du CFI dans des groupes de travail peut-être par manque de moyens humains ou par manque d’engagement.

En synthèse de cette première partie de discussion qui portait sur un bilan des activités du CFI en regard de ses statuts et notamment de l’article 2 :

4. DISCUSSION SUR DE NOUVELLES ORIENTATIONS

La deuxième partie de la discussion porte sur de nouvelles orientations possibles : l’élargissement des activités du CFI et de son rôle comme opérateur. Il est rappelé le travail d’organisation et de coordination assuré par le CFI dans l’opération du Pavillon France au congrès de Québec 2008. Le CFI pourrait par exemple organiser un stand commun des professionnels au congrès de l’IFLA, un voyage d’étude de professionnels ou réaliser une publication mettant en valeur les réalisations françaises et francophones.

Plusieurs pistes sont évoquées :

René PHALIPPOU de la DLL souligne que l’élargissement des missions du CFI pour exporter un savoir-faire français justifierait mieux le soutien du Ministère..

Frédéric BLIN du SDBIS pense que le CFI pourrait poursuivre son travail sur les bourses françaises mais pas francophones (celles-ci pourraient être financées par le MAE). Par ailleurs, le CFI pourrait organiser des conférences internationales qui auraient lieu en France. Il regrette qu’il n’y ait pas eu de réponse à la question : quel intérêt pour une association ou un adhérent individuel d’adhérer au CFI ?

5. CONCLUSION

Le conseil d’administration reviendra sur ces questions. Une partie des questions est restée sans réponse : quels services offrir pour retenir les adhérents et la question des moyens humains et financiers ?

Une conception plus ouverte des missions du CFI. Il y a confirmation d’une utilité et d’une nécessité de poursuivre une activité du CFI au sein de l’IFLA : le CFI doit être une chambre d’écho de ce que fait l’IFLA. Tout cela ne justifie pas un bouleversement profond mais une conception plus ouverte des missions du CFI.

Une révision des statuts. Une révision des statuts est envisagée pour permettre un élargissement des activités du CFI en dehors de l’IFLA.

Un changement de nom. Au-delà d’une révision des statuts, un changement de nom est à envisager.

La valorisation des savoir-faire. Un mentorat entre français et de français à francophones est suggéré de même que des échanges de professionnels.

La recherche d’une visibilité accrue. Il faut assurer une meilleure visibilité du CFI et de l’IFLA dans des colloques français et inviter des membres de l’IFLA dans des réunions professionnelles organisées par le CFI.

Une plus grande mobilisation des adhérents. Il faut drainer plus d’énergie, plus de participation et d’implication des membres du CA. Lors du prochain mandat, les associations et les institutions devront se mobiliser davantage.

Un travail de veille. Une veille sur les actions des autres institutions devra être assurée.